INVITATION DIVINE
« Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos. » (Jésus, Évangile de Matthieu 11.28)
C'est l'invitation sublime du plus tendre des maîtres ! Véritable oasis pour vous, ami lecteur, qui traversez la terre aride, desséchée, sans eau, qu'on appelle la vie.
Quoi de plus doux que le cœur de l'évangile, résumé tout entier dans cet appel simple de Jésus: « Venez à moi » ?
Allez donc à lui tel que vous êtes. La Bible dit: « Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de toute iniquité » (1° épître de Jean 1.9).
Allez à lui, où que vous soyez. Du fond même de l'abîme, vous pouvez crier à lui, il écoutera la voix de vos supplications.
Allez à lui simplement, et vous trouverez un refuge dans ses bras d'amour. Il n'a pas dit que vous le chercheriez vainement. Bien au contraire. Vous le chercherez, et vous le trouverez, si vous le cherchez de tout votre cœur.
Prétexterez-vous que vous ignorez la direction à prendre ? N'a-t-il pas dit: « Je suis le chemin » ? Direz-vous que vous ne savez pas à quel saint vous vouer ? N'a-t-il pas dit clairement: « Venez à moi » ? La Bible déclare: « Il n'y a de salut en aucun autre » (Actes des apôtres 4.12). Avec lui, en lui, vous trouverez la vérité et la vie.
Vous sentez-vous indigne de cette invitation ? N'entendez-vous pas plutôt résonner à votre cœur ces accents de grâce: « ...vous tous » ? Il y a une place pour vous dans le cœur de Dieu. Aujourd'hui.
Trouverez-vous l'excuse d'être accablé de malheurs, en proie à la détresse, et rongé par l'angoisse ? Justement ! Jésus a dit: « ...vous tous qui êtes fatigués et chargés ». Les malades ont besoin de médecin. Et les âmes chargées ont besoin de Jésus. Allez donc à lui, sans hésiter.
Il ne s'agit pas de venir pour payer, pour être jugé, condamné ou puni, mais pour saisir une délicieuse promesse de délivrance. Jésus vous donnera du repos.
« Nous l'avons entendu nous-mêmes, et nous savons qu'il est vraiment le Sauveur du monde » (La Bible, Évangile de Jean 4.42).
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