LE RÈGNE DE LA COLOMBE
« Le lendemain, il vit Jésus venant à lui, et il dit :
Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde…
J’ai vu l’Esprit descendre du ciel comme une colombe
et s’arrêter sur lui. »
Jean 1.29, 32
La colombe est l’emblème de la paix. Si donc le sang de Jésus nous a purifiés et que nous marchions humblement avec l’Agneau, le signe de la présence et de la plénitude de l’Esprit en nous est la paix. C’est là le critère de notre marche tout au long de la journée : « Que la paix de Dieu règne dans vos cœurs. » (Colossiens 3.15) Si la colombe cesse de chanter dans notre cœur, ce ne peut être qu’à cause du péché : d’une manière ou d’une autre, nous avons abandonné l’humilité de l’Agneau. Demandons alors à Dieu de nous montrer ce péché et hâtons-nous de nous en repentir et de l’apporter à la Croix ; et, une fois de plus, la colombe pourra s’installer dans notre cœur. De cette manière, nous connaîtrons la présence continuelle de l’Esprit, offerte à tout homme déchu, par l’application immédiate et constante du sang précieux de Jésus.
Ne voulons-nous pas, dès aujourd’hui, soumettre notre vie au règne de la colombe, de la paix de Dieu, pour qu’il en devienne l’arbitre tout au long de la journée ? Nous serons constamment convaincus de péché et humiliés, mais nous parviendrons ainsi à une conformité réelle avec l’Agneau de Dieu ; nous connaîtrons la seule victoire qui vaille la peine d’être remportée : la conquête du moi.
Roy HESSION
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