LA CERTITUDE DU PARDON

 

LA CERTITUDE DU PARDON

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          Il est de la plus grande importance pour l’âme inquiète, de connaître les bases sur lesquelles reposent le salut et le pardon que Dieu accorde aux pécheurs. Quel est le fondement de ce pardon ? quelle est son étendue ? quel est son caractère ?

          Il est impossible qu’une conscience divinement exercée jouisse d’un vrai et complet repos si elle n’est pas au clair sur ces trois questions.

 

Le fondement

 

          Une âme peut avoir des pensées vagues sur la bonté de Dieu, sur sa disposition à recevoir des pécheurs et à leur pardonner, sur sa répugnance à exercer le jugement, sur sa disposition à user de miséricorde. Tout cela peut être connu ; mais il faut être convaincu que Dieu est juste en justifiant le pécheur et qu’il est en même temps juge et sauveur. Il faut que l’âme comprenne comment Dieu a été glorifié en ce qui concerne la question du péché ; que tous ses attributs : la justice, la grâce, la miséricorde ont été mis en parfaite harmonie. Tant que l’âme ne l’a pas saisi, elle demeure étrangère à la paix de Dieu, cette paix qui, nous est-il dit « dépasse toute intelligence ».

          Une conscience, dans laquelle la lumière divine a fait pénétrer la vérité, sent et réalise que le péché ne peut jamais être supporté dans la présence de Dieu et que, là où il se trouve, il doit y avoir inexorablement le jugement du Dieu qui hait le mal. Cette connaissance ne peut produire dans une âme droite qu’une intense anxiété. Tous ces sujets demandent à être examinés sérieusement :

          - La justice de Dieu doit être satisfaite.

          - La conscience du croyant purifiée.

          - La justice est satisfaite et la loi magnifiée.

          - Satan, notre accusateur, réduit au silence.

          Comment tout cela peut-il se réaliser ? Par la croix de Jésus ! La précieuse expiation de Christ aplanit toutes ces difficultés et établit un terrain sur lequel le Dieu juste et un pécheur justifié peuvent avoir une douce et complète communion.

Par cette expiation :

          - Le péché est condamné.

          - La justice est satisfaite et la loi magnifiée.

          - Le pécheur est sauvé. L’adversaire confondu.

          Quelle glorieuse réponse à la question : Comment Dieu peut-il être juste tout en justifiant le pécheur ? Il a réglé la question du péché à la croix sur laquelle «Jésus qui n’a pas connu le péché, a été fait péché pour nous » Il a été notre substitut.

 

Alain PORCHEL

(à suivre)

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Informations :

 

          Dans notre rubrique « Ma Bible », nous publions aujourd’hui un article intitulé « La plus belle biographie ». Pour le lire, cliquer sur le lien :

 

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          Dans notre rubrique « Anecdotes », nous vous invitons à découvrir 5 succulents « mots d’enfants ». Pour les lire, cliquer sur le lien :

 

https://www.batissezvotrevie.fr/anecdotes-2/

 

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