MARCHER AVEC DIEU DANS LA CONFIANCE
« Je serai pour vous un Père, et vous serez pour moi
des fils et des filles, dit le Seigneur tout-puissant. »
2 Corinthiens 6.18
Jésus nous a présenté Dieu comme un Père s’intéressant à ses enfants, s’occupant d’eux, se penchant sur eux (Matthieu 6.25-34).
Quand nous entendons quelqu’un nous dire : « Dieu m’a abandonné », coupons court à un tel langage, et rappelons l’affirmation : « Comme un père est ému de compassion pour ses enfants, ainsi l’Éternel a compassion de ceux qui le craignent » (Psaume 103.13).
Dieu est un Père prévoyant. Nous ne sommes que de petits enfants à ses yeux. Des enfants à courte vue, ne sachant pas prévoir l’avenir, établissant des pronostics faux, prévoyant ce qui n’arrivera jamais…
Non seulement Dieu prévoit, mais il pourvoit à tous nos besoins, et de plus ne nous accorde jamais ce qu’il jugera nous être mauvais. Un père donnera-t-il un couteau tranchant à son jeune enfant quand celui-ci le lui aura demandé pour jouer ? Dans sa sagesse, Dieu nous refuse certains éléments qu’il prévoit nous être nuisibles. Ainsi peuvent s’expliquer les silences de Dieu à l’endroit de certaines prières de ses enfants.
Dieu est un Père vigilant. « Pas un cheveu de votre tête ne tombe sans la permission de votre Père », dit Jésus. Dieu ne laisse rien aller au hasard, non seulement dans le monde en général, dont il tient les rênes malgré tout, mais aussi dans notre vie en particulier. Aucun détail ne passe inaperçu et il fait tout concourir à notre plus grand bien.
Dieu est un Père compatissant. « Ses compassions sont immenses » (2 Samuel 24.14). Voilà sous quels traits il nous apparaît, parce que nous sommes à la fois faibles, petits, limités, pécheurs. En faut-il davantage pour inspirer la pitié ?
Par ailleurs, si Dieu permet les grandes heures de souffrances, soit physiques, soit morales, c’est parce qu’il sait tout le bien que nous pourrons en retirer dans le recueillement. En effet, tel isolement qui nous paraissait redoutable a été le point de départ d’un approfondissement spirituel jusque-là inconnu.
Le pire des malheurs, aux yeux de Dieu, n’est pas la souffrance que nous redoutons tant, mais le péché que nous tolérons trop – et qui nous sépare de lui.
« Des fils et des filles », voilà ce que Dieu voit en nous. Il nous veut :
Attentifs à sa Parole, en tout temps, pour en vivre et la pratiquer.
Reconnaissants à l’égard de tous ses bienfaits, innombrables si nous voulons les compter.
Obéissants à tous ses ordres quels qu’ils soient, même quand ils contrarient en nous une volonté rebelle.
Confiants à ses promesses qui portent et réconfortent ceux qui se livrent à lui.
Par nos attitudes de chaque jour, cherchons à justifier le titre qu’il a voulu nous donner : « enfant de Dieu »,(1 Jean 3.1), en marchant avec lui.
Marcel ARNAL
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