LES MENACES QUI PLANENT SUR L’HUMANITE

 

 

LES MENACES QUI PLANENT

SUR L’HUMANITE

 

Le réchauffement climatique ? Tout le monde en parle ! Il préoccupe, il inquiète, il angoisse même. Mais il n’est pas le seul à menacer l’avenir de l’Humanité.

Le 25 octobre 2023, l’université de l’ONU a publié une étude portant sur les éléments qui, comme l’explique Zita Sebesvari, l’autrice principale du rapport, « pourraient détruire les systèmes dont notre vie dépend ». Ils sont, selon l’ONU, au nombre de six. Les voici. 

 

 

Le réchauffement climatique

 

Le monde avance inéluctablement vers la manifestation des jugements de Dieu ; jugements sur une Humanité corrompue et impénitente. Dans l’Apocalypse, l’apôtre Jean décrit le temps où un ange versera « sa coupe sur le soleil. Et il lui fut donné de brûler les hommes par le feu; et les hommes furent brûlés par une grande chaleur, et ils blasphémèrent le nom du Dieu qui a l'autorité sur ces fléaux, et ils ne se repentirent pas pour lui donner gloire. » (16.8-9) 

 

Bien qu’il ne soit pas le seul, comme nous le disions, qu’aura à affronter l’Humanité, le réchauffement climatique est certes l’un des risques les plus im-portants. « Le changement climatique induit par l’homme provoque une augmentation mondiale des températures, entraînant des vagues de chaleur plus fréquentes et plus intenses avec de graves conséquences », rappelle ainsi l’ONU.

« Les chaleurs extrêmes ont déjà été responsables de 500 000 décès en excès par an au cours des deux dernières décennies », poursuit l’organisation, indiquant que deux localités du globe (l’une en Inde, l’autre dans le golfe persique) sont déjà considérées comme « inhabitables ». En effet, ils présentent parfois des niveaux de températures et d’humidité trop élevées pour le corps humain.

 

La Bible dit : « Car voici, le jour vient, ardent comme une fournaise. Tous les hautains et tous les méchants seront comme du chaume; le jour qui vient les embrasera, dit l'Éternel des armées, il ne leur laissera ni racine ni rameau. » (Malachie 4.1) 

 

 

L’effondrement de la biodiversité

 

L’ONU rappelle également que la diminution des populations d’animaux est un risque pour les sociétés humaines. L’organisation résume la situation en ces termes : « Le taux actuel d’extinction des espèces est au moins des centaines de fois plus élevé que ce qui a été constaté auparavant, en raison de l’influence humaine, avec des conséquences dramatiques pour toute vie sur notre planète ».

On nous rappelle, si besoin est, que tout est lié : « Les écosystèmes sont cons-truits sur des réseaux complexes de connexions entre différentes espèces. » La disparition de l’une d’entre elles peut en fragiliser d’autres, ce qui, à terme peut avoir d’importantes conséquences sur l’agriculture ou l’élevage.

 

L’homme travaille à sa propre destruction. Insouciant, entêté, aveuglé, il accélère le processus le menant vers le chaos final. « Les nations se sont irritées; et ta colère est venue, et le temps est venu de juger les morts, de récompenser tes serviteurs les prophètes, les saints et ceux qui craignent ton nom, les petits et les grands, et de détruire ceux qui détruisent la terre », s’écrient les êtres célestes prosternés devant Dieu (Apocalypse 11.18).

 

 

La fonte accélérée des glaciers

 

La fonte de ces « châteaux d’eau » de l’humanité met en péril l’approvisionnement en eau de certaines régions, ou elle entraîne la disparition d’espèces animales jouant un rôle clé pour leur écosystème.

Ces risques majeurs devraient encore s’accroître. « Nous devrions perdre envi-ron 50 % des glaciers d’ici 2100, même si le réchauffement climatique est limi-té à 1,5 °C », alerte l’ONU.

 

Les hommes ne font que constater ce que la parole de Dieu annonce depuis des siècles : « L'Éternel s'avance comme un héros, il excite son ardeur comme un homme de guerre; il élève la voix, il jette des cris, il manifeste sa force contre ses ennemis. J'ai longtemps gardé le silence, je me suis tu, je me suis contenu; je crierai comme une femme en travail, je serai haletant et je soufflerai tout à la fois. Je ravagerai montagnes et collines, et j'en dessécherai toute la verdure; je changerai les fleuves en terre ferme, et je mettrai les étangs à sec… Ils recule-ront, ils seront confus, ceux qui se confient aux idoles taillées, ceux qui disent aux idoles de fonte: Vous êtes nos dieux! » (Esaïe 42.13-17)

 

 

L’épuisement des eaux souterraines

 

Les nappes d’eaux souterraines, appelées « aquifères » sont un autre réservoir d’eau en souffrance. L’ONU explique : « Ces aquifères fournissent de l’eau po-table à plus de 2 milliards de personnes et environ 70 % des prélèvements sont utilisés pour l’agriculture ». Et l’organisation ajoute : « 21 des 37 principaux aquifères de la planète s’épuisent plus rapidement qu’ils ne peuvent être reconstitués ». Il faut savoir qu’il existe « une relation forte entre les eaux souterraines et la production alimentaire mondiale ». Une sursollicitation représente donc un risque important pour les sociétés dans certaines régions.

 

Le monde avance vers des famines plus dramatiques que celles qu’il a connues au cours de son Histoire. Jésus l’a dit : « Il y aura en divers lieux des famines… Tout cela ne sera que le commencement des douleurs » (Matthieu 24.7-8). 

 

 

La prolifération des débris spatiaux

 

L’ONU voit également dans la multiplication des débris dans l’espace un risque important pour les sociétés humaines. Du fait de la multiplication des vols spa-tiaux et des satellites, ces débris sont effectivement extrêmement nom-breux : « Sur les 34 260 objets en orbite suivis, 75 % sont des débris », note l’ONU. De plus, il y aurait probablement en orbite, précise l’organisation, 130 millions d’éléments trop petits pour être suivis.

Ces déchets peuvent endommager, voire détruire, les satellites encore fonction-nels, qui ont des missions décisives comme « recueillir et distribuer des infor-mations vitales pour la surveillance météorologique, pour les systèmes d’alerte précoce en cas de catastrophe et pour les communications ». Missions qu’ils ne pourront donc plus accomplir s’ils sont endommagés par des débris.

 

Que sera-ce alors, lorsque s’accompliront les paroles du Christ : « Les étoiles tomberont du ciel, et les puissances des cieux seront ébranlées » ? (Matthieu 24.29). Le prophète Esaïe s’écriait en son temps : « Toute l'armée des cieux se dissout; les cieux sont roulés comme un livre, et toute leur armée tombe, comme tombe la feuille de la vigne, comme tombe celle du figuier. » (34.4)

 

 

L’embolie du système d’assurances

 

Conséquence de ces cinq premiers éléments : le système d’assurance pourrait connaître d’importantes difficultés à l’avenir, à cause de la multiplication des risques.

« Depuis les années 1970, les dommages causés par les catastrophes climatiques ont été multipliés par sept », indique l’ONU. « Et la seule année 2022 a vu 313 milliards de dollars de pertes économiques mondiales », précise l’organisation.

De fait, regrette l’ONU, « face à l’augmentation des sinistres, certaines compa-gnies d’assurances situées dans des zones à risque ont décidé de limiter le mon-tant ou le type de dommages qu’elles peuvent couvrir, de résilier leurs contrats d’assurance ou de quitter complètement le marché. » Un retrait qui finira de fragiliser certaines régions du globe.

 

Jésus-Christ est le seul refuge de l’homme. En dehors de lui, tout n’est que mi-rage, illusion, fausse espérance. Que l’homme espère en l’argent, l’instruction, la philosophie, la religion, tôt ou tard il sera déçu et confus. La Bible dit : « Ainsi arrive-t-il à tous ceux qui oublient Dieu, et l'espérance de l'impie périra. Son assurance est brisée, son soutien est une toile d'araignée. Il s'appuie sur sa maison, et elle n'est pas ferme; il s'y cramponne, et elle ne résiste pas. » (Job 8.13-15)

 

Chrétiens, votre vie est cachée avec Christ, en Dieu. Demeurez dans cette posi-tion bénie et sûre. Jésus est votre espérance présente, future, et éternelle. 

 

Paul BALLIERE 

www.batissezvotrevie.fr